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rio bravo film de légende
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Catégorie : biographie des acteurs et réalisateurs

rio bravo film de légende
VIP-Blog de rio-bravo
bulitt11@hotmail.fr

  • 9 articles publiés dans cette catégorie
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 20/05/2007 16:40
    Modifié : 16/04/2010 10:12

    Garçon (28 ans)
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    john wayne

    20/05/2007 17:45

    john wayne


    Débutant dans le métier du cinéma grâce à l’intervention de Tom Mix, un célèbre cow-boy du cinéma muet, qui lui octroie les fonctions d’accessoiriste et de machiniste, Marion Morrison, son vrai nom, fait la connaissance de John Ford sur les plateaux. Celui-ci lui offre son premier rôle, de la figuration sur son film Maman de mon coeur.

    Autre rencontre d’importance,
    Raoul Walsh le trouve acteur prometteur puisqu’il lui offre le rôle principal de son film La Piste des Géants (The Big Trail) (1930) et son pseudonyme de John Wayne. Mais ce premier rôle ne suffit pas à faire décoller sa carrière. Il épouse Josephine Saens, fille d’un consul en 1933.

    C’est
    John Ford qui arrivera à point nommé pour donner le coup de pouce dont avait besoin sa carrière. Avec le rôle d’Henry, le Kid Ringo dans La Chevauchée fantastique (Stagecoach) (1939) devenu culte, John Wayne devient une véritable star hollywoodienne.

    Anecdote pour le moins ahurissante, suite à la création en 1944 d’une ’Alliance Cinématographique pour la Défense des Idéaux Américains’ ouvertement anti-communiste, Joseph Staline lui-même a lancé un ’contrat’ sur le ’Duke’, surnom qui lui vient de son chien préféré de son enfance. 2 tueurs du KGB, envoyé par le Kremlin, ont été arrêté aux portes des studios de la Warner Bros. La légende dit que John Wayne les aurait fait parlé sous la menace d’une arme, de nuit, sur une plage éclairée par les phares de sa voiture, avant de les mener à la Police.

    En 1960, John Wayne s’attaque à un monument de l’Histoire Américaine avec
    Alamo (The Alamo) (1960) dont il est réalisateur, acteur principal dans le rôle de Davy Crockett, et producteur. Il fonde pour l’occasion sa société de production Batjac.

    1979 est l’année où le cancer a raison du plus célèbre cow-boy du cinéma américain. Dès 1964, John Wayne, qui avait participé à la chasse aux sorcières du cinéma menée par le sénateur paranoïaque McCarthy, avait du être ponctionné d’un poumon déjà atteind par la maladie. Deux mois après être apparu à la Cérémonie des Oscars bien amaigri, le ’Duke’ s’est éteind à son domicile de Los Angeles, le 11 Juin 1979.





    dean martin

    20/05/2007 17:48

    dean martin


    Partageant le succès entre musique, cinéma, télévision et la scène, Dean Martin était un « Entertainer », l'éternel essence de la « Cool attitude ». Membre du Rat Pack, il a vécu un destin de légende sous les feux des projecteurs, projetant une image de détachement et de sérénité.
    Avec Franck Sinatra et Sammy Davis Jr, ils représentent « une tranche de vie de l'Amérique ». Whisky et cigarette à la main, Dean Martin incarne l'excès glorieux d'un monde aujourd'hui révolu. Un monde sans règles et sans conséquences.

    Dino Paul Crocetti est né le 7 juin 1917 à Steubenville, Ohio. Fils d'un coiffeur italien immigré, il ne parle qu'italien jusque l'âge de 5 ans et fut la cible à l'école de raillerie sur son anglais écrasé. Il quitte l'école à 16 ans pour aller travailler dans une aciérie. Boxeur, surnommé « Kid Crochet », il livra de nombreux combats amateurs. Trouvant un travail de croupier, il se fait des relations dans les clubs et commence à travailler dans les clubs du Middle West. Transformant son nom en Dean Martin (de Martini), s'inspirant de son idole Bing Crosby. Il connaît ses premiers succès dans les clubs de New York.
    En 1946, il rencontre Jerry Lewis qui partageait la scène avec un autre comique. Plus tard la même année le comparse de Lewis quitte la scène et Dean Martin est appelé à le rejoindre sur scène. Au départ ils avaient deux shows séparés, mais un soir ils laissent libre court à l'improvisation et se lancent dans des numéros en commun. A la fin des années 40, ils étaient le duo comique le plus célèbre des Etats-Unis.

    En 1950, ils tournent le premier film qui eut un succès considérable « My Friend Irma » qui connaîtra une suite « My Friend Irma goes to west ». Avec « At War with the Army” Dean Martin et Jerry Lewis gagnent leurs gallons de star. La formule du duo fonctionne à merveille : Martin, l'homme droit et doux et Lewis, l'imbécile maniaque. Ils étaient acclamés par le public. Suivront 13 films du duo. 1956, fut l'année de la séparation, avec un show au Copacabana qui marqua également leurs dix années de collaboration.

    Alors que tout le monde voyait en Lewis une star, l'avenir de Dean semblait plus incertain en solo. Pourtant en 1953 « That's Amorre » fut un succès. Puis il apparut en 1958, dans « The young Lions » aux cotés de Marlon Brando. Cette année fut celle de la première série des Dean Martin Show à la télévision et ses shows au Sands Hotel déchaînaient les foules.

    « The Young Lions » a montré son talent d'acteur dramatique. La même année son tube « Volare » est partout. Il conquiert tout les domaines : musique, cinéma, télé et scène. Même au sommet de sa gloire, Dean Martin est resté dédaigneux de la célébrité. Pour un homme présent en permanence pour le public, il est resté élusif. En 1959, son film avec Sinatra « Some came Running » marque les prémices du Rat Pack. Ensemble le duo Sinatra/ Martin et les acolytes, Sammy Davis Jr, Peter Lawford, Joey Bishop et Shirley Mc Laine donnent les règles de la « nouvelle célébrité » devenant les maîtres du cool. Ils sont non seulement dans le show business mais aussi dans la politique affichant leurs liens avec Kennedy, beau frère de Lawford. Ils deviennent les nouveaux rois et Las Vegas est leur terrain de jeu.
    Dean Martin continue d'impressionner la critique dans le classique de Howard Hawks « Rio Bravo ».

    Dean Martin reste le membre énigmatique du Rat Pack. Sous l'influence de Sinatra il rejoint le label Reprise. En 1960, le Rat Pack, apparaît au grand complet dans « Ocean's Eleven », tournant le jour et jouant la nuit au Sands. Deux ans plus tard, ils se retrouvent pour « The 3 sergeants » et en 1963 le 3ème opus du pack « Robin and the seven Hoods » pendant le tournage la nouvelle de l'assassinat de Kennedy tombe. Le règne du Rat Pack se termine, avec la guerre du Vietnam et la lutte pour le droit civil qui voit le jour et annonce des lendemains plus sombres. Il n' y avait plus de place pour le style de vie insouciant d'avant.

    En 1964, alors que la Beatlemania fait rage, Dean Martin frappe les charts mondiaux avec « Everybody loves somebody ». La même année le film de Billy Wilder « Embrasses moi idiot » est un succès. En 1965, il repart pour 9 années de succès avec le Dean Martin Show et dans les années 70 d'autres rendez-vous à la télévision. Il connaît également le succès au cinéma avec la parodie de James Bond « Matt Helm ». D'autres succès au cinéma sont au rendez-vous comme « Cannonball » ou « Airport ». La mort de son fils Dean Paul en 1985 le marque profondément et il se retire un peu plus de la vie publique. Après une tournée de retrouvaille avortée avec Sinatra et Sammy Davis Jr il sombre dans la solitude. Il meurt en 1995 des suites d'un cancer.

                     






    ricky nelson

    20/05/2007 17:51

    ricky nelson


    Ricky faisait des crises d'asthme pendant son enfance, et a grandi légèrement maladif.
    Ricky Nelson de son vrai nom Eric Hilliard Nelson est l'un des typiques représentants du Rock'n'roll "Teenagers" de la fin des années 50. Avec sa belle gueule de rocker, il a su conquérir le coeur des jeunes filles de cette époque.

    Ricky a commencé sa carrière dans le feuilleton télévisé "Ozzie and Harriet" en compagnie de ses parents et de son frère (du même nom que le feuilleton de 435 épisodes de 30minutes et qui durera 14 années).

    C'est en 1957, que Ricky décide de chanter du Rock'n'roll sous l'influence de sa petite amie de l'époque.

    Il enregistre : A Teenager's Romance ; I'm Walkin' ; You're My One and Only Love ; Honey Rock.

    Johnny Hallyday repris quelques années plus tard un succès "Teenage Idol - L'idole des Jeunes"

    Il nous quitta dans un accident d'avion dans la nuit du 31 au 1er janvier 1986.

           





    Angie Dickinson

    20/05/2007 17:52

    Angie Dickinson


    Née en 1931, elle remporte un concours de beauté avant de faire ses débuts au cinéma au milieu des années 50. C’est Samuel Fuller qui la remarque dans plusieurs séries B et lui offre son premier grand rôle dans China Gate en 1957. L’année suivante, elle partage l’affiche de Rio Bravo (1959) de Howard Hawks, où ses jambes interminables, assurées par la Lloyd’s, lui valent l’attention des médias…

    Prise sous contrat à la Warner, elle tourne plusieurs films d’inégale qualité, mais se distingue en maîtresse de Ronald Reagan dans
    A bout portant (The Killers) (1964) de Don Siegel. De 1974 à 1978, elle est l’héroïne de la série télévisée Sergent Anderson (Police Woman) (1974) .

    On l’a également vue dans plusieurs films français comme
    Un Homme est mort (1972) de Jacques Deray ou L'Homme en colère (1978) de Claude Pinoteau. Elle trouve son dernier rôle mémorable dans Pulsions (Dressed to kill) (1980) de Brian de Palma, où elle incarne une femme perturbée, sauvagement assassinée à coups de rasoir…
     





    Howard Hawks le réalisateur

    24/05/2007 20:08

    Howard Hawks le réalisateur


    Il se considérait comme un artisan et non comme un artiste. Il racontait ses histoires de manière linéaire, sans artifices, sans flash-back et souvent sans ellipses, dans un style limpide et fluide que l’on aurait tort de croire simple : il représente le comble du savoir-faire. Il prenait le cinéma pour ce qu’il est, un divertissement populaire. Pour autant - et même justement pour cette raison - il ne s’est jamais autorisé le moindre compromis. Et ses ambitions étaient à la hauteur de celui qui fut son modèle : D. W. Griffith, rien de moins.
    Bien sûr, les choses lui ont été plus faciles qu’à d’autres, de par sa naissance dans un milieu favorisé : une famille de riches commerçants de l’Indiana qui émigre en 1906 en Californie où elle vient d’acquérir des orangeraies. Howard Hawks a dix ans. Passionné de mécanique, il entre bientôt dans une école spécialisée. A seize ans il possède une voiture puis un avion, il participe à des courses, s’engage comme pilote pendant la Première Guerre mondiale. Il entrera à Hollywood par la petite porte, pas du tout certain d’y trouver sa voie. Mais, évidemment, quand on est grand, blond, athlétique, quand on peut compter sur l’argent de papa, quand on joue au tennis avec Mary Pickford, quand on est à tu et à toi avec Douglas Fairbanks... ça aide à faire son chemin.
    A partir de 1923, Howard Hawks se fait un nom en tant que scénariste. En 1926, il tourne son premier long métrage, The road to glory (il en fera le remake en 1936). La célébrité attendra encore quelques années. Il l’obtiendra grâce à Scarface, biographie du fameux gangster Al Capone (1932). Dès lors, sa carrière est lancée. Avec un brio hors du commun, il se frotte à tous les genres. Western, film de guerre, film noir, comédie, aventure, à chaque fois (ou presque), bingo !
    Qu’a-t-il donc de si particulier qui fait que ses films marchent ? Tout d’abord, il sait choisir avec soin ses comédiens. De nombreux débutants ou quasi débutants lui doivent d’ailleurs leur carrière, Carole Lombard, Lauren Bacall, Montgomery Clift, entre autres. Il est un directeur d’acteurs hors pair : pensez à John Wayne, par exemple, qui n’a jamais été aussi bon que sous la férule de Hawks. Il leur donne à dire des dialogues au naturel confondant, et en cela se démarque très vite des autres réalisateurs venus du muet qui s’embourbent dans le théâtre filmé. Et puis, surtout, il raconte des histoires. "Je suis un raconteur d’histoires, disait-il, c’est la fonction principale du réalisateur." Des histoires qui brossent, à travers ses quelque quarante films, un portrait fidèle et honnête de la société américaine telle qu’il la percevait.
    Howard Hawks a accompagné (et même souvent devancé) avec le plus grand des talents l’évolution du septième art pendant plus de quatre décennies jalonnées de films mémorables, et continue d’influencer de nombreux réalisateurs d’aujourd’hui. En 1977, âgé de 81 ans, il tirait sa révérence avec la discrétion qui a marqué sa vie de bout en bout.






    ward bond

    25/05/2007 10:31

    ward bond


    Comédien américain né le 9 avril 1903 à Denver (Colorado). Joueur de football dans son Université en Californie du Sud, il est choisi — avec son camarade John Wayne — par John Ford pour figurer dans SALUTE. Dans les années trente, alors que Wayne devient très vite un acteur de premier plan, Ward Bond, sous contrat à la Columbia, tourne sans relâche quantité de films de second plan dans lesquels il fait le plus souvent de la «figuration intelligente». Au cours de la période 1934-39, on peut voir Ward Bond dans plus de cent films (parfois vingt films la même année) ! Il incarne ainsi d’innombrables méchants de westerns de série B dont les vedettes sont Tim McCoy ou Buck Jones. Mais il joue également les «utilités» dans des œuvres de prestige. Ce n’est qu’en 1939 qu’il acquiert son statut de grand comédien de second plan avec sa courte apparition dans AUTANT EN EMPORTE LE VENT. Dès lors, ses rôles s’étoffent. Il est l’irascible inspecteur Tom Polhaus dans LE FAUCON MALTAIS, un policier également dans LES RAISINS DE LA COLÈRE, un flic brutal et corrompu dans LE FAUVE EN LIBERTÉ.

    Il lui faudra attendre le début des années cinquante pour atteindre le sommet de sa popularité, d’abord dans le rôle du père Lonergan de L’HOMME TRANQUILLE, puis dans celui du truculent pasteur shérif de LA PRISONNIÈRE DU DÉSERT. Ensuite et surtout à partir de 1957 dans le personnage du major Seth Adams pour la série télévisée «La Grande Caravane» («Wagon Train») : un personnage inspiré de sa création dans LE CONVOI DES BRAVES de John Ford. «Acteur fordien par excellence» — il est au générique de plus de vingt films de Ford — il s’est amusé à caricaturer le célèbre cinéaste dans L’AIGLE VOLE AU SOLEIL. Anticommuniste notoire, il fut très actif à Hollywood en 1950-1953, au cours de la «Chasse aux Sorcières». Il était l’invité d’une manifestation locale à Dallas, le «Cotton Bowl», lorsqu’il fut terrassé par une crise cardiaque en prenant sa douche dans un motel, le 5 novembre 1960. Il n’avait que 57 ans.






    walter brennan

    25/05/2007 10:35

    walter brennan


    Comédien américain né le 25 juillet 1894 à Swampscott (Massachusetts). Ingénieur de profession, il préfère choisir la carrière d’acteur, participant d’abord à des vaudevilles avant d’être mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale. De retour à la vie civile, il débarque à Hollywood en 1923 et commence une carrière de figurant professionnel et de «cascadeur». Il lui faudra attendre quatre ans avant de voir son nom inscrit pour la première fois au générique. Dès lors, il tourne sans discontinuer et devient l’un des acteurs de complément les plus versatiles et les plus populaires de son temps. Walter Brennan remporte son premier Oscar du meilleur second rôle masculin dès 1936 avec sa création de Swan Bostrom dans LE VANDALE, puis obtient son second Oscar deux ans plus tard avec sa composition du vieux Peter Goodwin dans KENTUCKY. En 1940, il se voit à nouveau honoré par un Oscar en incarnant un truculent juge Roy Bean dans LE CAVALIER DU DÉSERT aux côtés de Gary Cooper. Il sera ainsi le premier comédien à avoir gagné trois fois le prestigieux trophée en moins de cinq ans.

    Sans compter qu’il sera nommé pour un quatrième Oscar en 1941 en étant le pasteur Rosie Pile dans SERGENT YORK ! Ce qui ne l’empêchera pas d’incarner quelques autres personnages inoubliables — et la plupart du temps sympathiques — comme Eddie, le compagnon excentrique et alcoolique inséparable de Bogart dans LE PORT DE L’ANGOISSE. Mais son talent versatile lui permettra tout aussi bien de camper des méchants singuliers, tel le chef de clan et chef de gang Clanton dans LA POURSUITE INFERNALE. Il avait coutume d’attribuer ce qu’il appelait sa chance au fait qu’un malencontreux coup de sabot de cheval durant un tournage en 1932 lui avait cassé toutes les dents de devant : «Après ça, je n’avais plus qu’à sourire et la partie était gagné !», affirmait-il non sans humour. Walter Brennan est apparu dans un très grand nombre de westerns. «Il a, sinon créé, du moins porté à sa perfection le type du vieux cow-boy hirsute et édenté, chiqueur, buveur, blagueur, fertile en évocations nostalgiques et en plaisanteries misogynes», écrivent Jean Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier (in «Trente Ans de Cinéma Américain», éditions CIB).

    Devenu presque l’acteur de complément par excellence, il fut l’un des comédiens favoris des plus grands cinéastes, qui diversifièrent ses prestations : Hawks surtout (cinq films dont RIO BRAVO dans lequel il incarne Stumpy, la «quintessence» de son personnage de vieux «dur à cuire», sympathique et râleur), Capra (le clochard rebelle de L’HOMME DE LA RUE), Renoir (le vieux solitaire de L’ÉTANG TRAGIQUE, rôle qu’il reprit dans PRISONNIERS DU MARAIS de Jean Negulesco), Walsh (Pop Keith, injustement accusé de meurtre dans LE DÉSERT DE LA PEUR), et aussi Fritz Lang (LES BOURREAUX MEURENT AUSSI), Mann (JE SUIS UN AVENTURIER), John Sturges (UN HOMME EST PASSÉ). À partir de 1956, il était devenu vedette de séries télévisées : «The Real McCoys», «Guns of Will Sonnett», «Tycoon», «To Rome, With Love». Il était à la ville un curieux vieillard excentrique, professant des idées d’extrême droite, «misanthrope, inquiet et désabusé malgré son immense réussite» (op. cit.), une personnalité qui présentait de curieuses analogies avec son personnage de cinéma. Walter Brennan est mort d’un emphysème à Oxnard (Californie) le 21 septembre 1974.






    Claude Akins

    25/05/2007 14:21

    Claude Akins


    Excellent acteur qui fut "bad guys" pendant très longtemps mais qui fut un grand acteur souvent mal utilisé.
    Claude Akins fut très apprécié par Budd Boetticher dont il devint l'ami et de Howard Hawks qui admirait sa personnalité car Claude Akins était un type bien.

    Il fut un des frères Burdette dans Rio bravo et fut du sequelle des 7 mercenaires 1966 au côté de Yul Brynner et Robert Fuller.

    Claude Akins est peut-être à comparer à Ernest Borgnigne, Lee Marvin, Jack Lambert, Skip Homeier... mais il reste pour nous celui qui fut des productions de Le géant du grand nord, Comanche station, Jicop le proscrit, Bitter creek ou bien encore Colline brulante. Dans la majoritée de ses films Claude Akins est censé mourir dès la 2ème bobine mais le plaisir est tellement partagé en le voyant qu'il est si vite pardonné. Celui qui fut un marines des Etats-Unis et qui servit dans le Pacifique, en Birmanie fut aussi pour Sam Fuller un compagnon admirable et il l'employa si bien dans Les maraudeurs attaquent (1960).

    Au début des années 1970, Claude Akins s'est lui aussi tourné vers la télévision où il reprit un second souffle dans divers séries.

    Claude Akins est mort en 1994 des suites d'une longue maladie.






    Pedro Gonzales-Gonzales

    25/05/2007 14:28

    Pedro Gonzales-Gonzales


    le 21 Decembre 1926  à Aguilares, Texas, USA De son vrai nom Ramiro Gonzalès Gonzalès qui reste très connu pour son rôle de tenacier dans le western Rio bravo, ces scènes de disputes conjuguales avec son épouse dans le film sont restées très anthologiques.

    Pedro Gonzalès débute sa carrière comme faire valoir de la bande des Marx Brothers et ce pendant de très nombreuses années. Il fera avec eux des films et des variations de gag sur scènes avant de se retourner plus sérieusement vers le cinéma qui l'emploira comme le mexicain de service.

    Ses rôles dans le cinéma sont très aléatoires et tous genres y sont représentés dans ses compositions, mais c'est dans le western qu'il débute en 1953 dans Révolte au Mexique western signé Budd Boetticher puis en tournera une bonne douzaine.
    Sa meilleur prestation dans le genre qui nous intéresse se situe dans les westerns tournés avec le Duke et surtout Rio bravo mais aussi tant d'autres La vallée de la poudre, L'honorable griffin, Chisum, Le grand McLintock. Cet acteur était très proche de Duke Wayne car le Duke aimait beaucoup le Mexique et Pedro lui racontait souvent sont enfance dans son pays natal.

    Décédé le 06 Fevrier 2006  à Culver City, Los Angeles, Californie, USA






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